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Helagabalus

1 janvier 2009

Pretty New...

IL me disait des yeux : "Être beau ne suffit pas à être heureux."
Et moi, que me restait-il donc, Apollon ?

Une oie éventrée volant le ventre au ciel. Longtemps qu'on ne croit plus aux tomtes, les enfants ont déjà la nonchalance suspicieuse des grands. Cendrée, Nils. Je suis blasée.
On thésaurise, ouais. Et le hasard me blesse.

Homélies, arguties, antiennes, peut-être qu'au fond je t'aime. Je t'aime autant que lui et le voilier, autant que lui et le poète maudit, autant que lui et Debussy.

Parce qu'il n'y a plus cette certitude malsaine. Il n'y a plus la certitude douillette sur laquelle je retombais en nous blessant à grand coup de cynisme ou de bassin. Tu es heureux, et cela me comble tant, parce que je ne voulais que te voir heureux sans moi. Un ami, oui. Etrange. Je t'aimais comme j'aime les miens, mais cela s'ammenuise. Comme pour les amants-untels, parce que pour celle que j'ai été (oui, à ce passé du passé qui nous rammène si loin, et toi encore plus...) Et quoi encore, tu ne devines pas ? Mais je ne devrais pas, même si nous n'en avons plus rien à faire.
Mais je n'avais que ces loques auxquelles me raccrocher quand je divaguais. Honnêté ? Oui, je crois. Parce que je n'ai plus rien d'ici ou d'ailleurs. Pas tes mots que j'ai imaginés, pas ceux qu'ils ne m'ont jamais dis... Ou si, par convenance.
En même temps, leur émerveillement de garçonnets me fait proprement gerber. Je peux être plus belle que tout ce qu'ils n'ont jamais vu.  Et alors... c'est le Désespoir ! ?

Un autre lui : (peut-être le même ?). Ou même deux autres.
Un mythe, oui. Je m'attache à des contes, à des yeux qui reviennent. Et les corps qui défilent maintenant à peine. Parce que je suis seule dans ma belle histoire, au fond, avec mon honneur de russe blanche noircie dans la fange. Je n'ai que ce que je suis. Tu sais, cela fait si peu, parce que je ne sais plus voir en moi qu'un autre mythe qui me dégoûte et en attira tant d'autres. Mais je ne veux pas.

Lui ? Je l'aimais aussi. Comme un frère, commme toutes mes entrailles qui s'entrechoquent encore, comme l'image même de ce que j'étais au dedans. Alors que t'importe... Je comprends. Elle m'avait dit.

Mais je porte toutes tes faiblesses en moi; jumeau-sirène. Je me raserai le crâne, je m'en sortirai. Encore tant de vies. Et je saurai ce que je veux être, bien que tu n'approuves pas. Pour l'instant je m'accorde sans fin, et je ne suis pas encore cet accord que je modèle.
Je lui parlais dans mon sommeil, dans ces cauchemars où je t'aspirais. Du vent, de la poussière et du vert. C'est ridicule. J'embrasse quand ton fantôme me hante, pour voir la vie; mais ce n'est pas toi, non. Tu es l'emblème de la mort, parce que je suis heureuse de te savoir mort pour toi-même. Alors quand tu reviens en moi, je panique. Puis je panique parce que je ne ... pas finir comme lui.

Avec le mythe comme seule amant, ami et relatif.

Malgré la tumeur qui me brûle, malgré tout ce qui me rend impropre, malgré mon amour pour rien qui brûle aussi ; tant que personne ne nous touche plus vraiment, je vis. Je ne me consumme pas. J'ai essayé, meurtri tant de chairs pour te voir rester idem. Indemne.

Mais pourtant malgré tout j'aime ton contraire que je rebutte comme ma haine et la déchéance. Je sens tout le Dostoievski, tout le Bukowski qui remonte comme un mauvais repas, tu le vois. Ca se révulse, ça dodeline et ça effraye. Les passions vides et ignées.
J'aime et je déteste. Ce composé étrange qui à force de lui ou de toi n'a plus de nom.  Toi, Lui, je t'aime plus que d'autres, bien que tu ne me lises pas. Ou lui. Mais même le toi que je lance en détresse a peut-être le goût salé d'un autre toi qui me répugne déjà de sa virile bassesse à prendre l'honneur pour une revanche. Ou d'un toi qui me fait trembler dans le froid des terrasses et qu'on prend pour un conquérant de qui je serais être la terre marchandée et acquise.
Mais je ne vois le bafoué que frais, señor.

Mais comme disait l'autre : "Yo Ya No Soy Yo."

Burn ur Cd's. Pretty new... on a RATM beat.

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16 août 2008

Manifeste Avorté. (notes entrecoupées du 22 juin)

Toute les choses du monde que l'on ne peut traduire. l'oculte mystique de ces choses intranscriptibles : on n'a que des bâtonnets fourchus, des kalâams phéniciens.
La nacre, l'iridescence ocellée de l'écorce de bouleau, l'élancement du tronc, brillante verticalité, une longue perdrix. Comme Giono offre la beauté lourde et vénèneuse d'une femme à travers une pieuvre.

Comment capturer l'éclat des choses multiples et éphèmères ?
Le premier rayon de soleil entre les persiennes, l'inclinaison précieuse du soleil matinal qui vous réveille, faisceau de poussière. Or. Et dans ce faisceau, le grésillement, l'ébrouement premier des oiseaux au dehors, leurs ordonnées parades quotidiennes.

Il n'y a pas de mots, pas de pinceaux pour capturer cette synesthésie. On ne peut pas filmer de la fumée correctement, enfin.

L'art prochain se devra donc d'être synesthésiaque, peut-être qu'ainsi mieux encore, par l'ampleur dans ces souvenirs, la suggestion - et non un réalisme - de la plus exacte nature perceptible des choses sera manisfestation de la plus imprécise, efficace et inaltérable mémoire collective, la plus universellement vraie.
L'Art Synesthésiaque, comme nous l'appelerons, serait alors se donner l'illusion - sensorielle et de l'ordre de la mémoire - de pouvoir égaler, par un artefact, les choses éphèmères et tout à fait hors de la portée de l'humanité culturelle, hors du langage en particulier.
Tout ce qu'on peut transcrire nous appartient déjà un peu. L'Art alors innocent, la volonté du souvenir et de l'émerveillement premier, deviendrait la pire manifestation d'une toute autre volonté : prométhéenne. La plus grande mégalomanie néfaste de l'Homme ?
Le souvenir à vocation collective de l'éclat des choses devient la bombe atomique.

L'obsession de la vérité, quête de l'absolu ? La vérité, dogme suprême, paradigme ?

"Je suis l'excès circonspect, la révolution ordonnée : un être proudhonien par essence." 

26 mai 2008

Pathologies Dangereuses.

Connaissez-vous la groß-lourdite ?
C'est une maladie banalisée, mais pourtant fort ennuyeuse. Une pléthore de symptômes ravageurs, surtout pour l'entourage du malade et ceux qu'il viendra à fréquenter (du moins dans son imagination, cf. paragraphe suivant.)

Le gros-lourd a des tas d'amis, et plait énormément dans le monde imaginaire qu'il se construit à grands renforts de clichés et de pseudos conventions sociales dramatiquement pauvres.

On diagnostique différents cas de gros-lourds, balançant de la très courante érotomanie à des combinaisons plus délicates (oui, cette maladie est essentielle masculine, le fait étant dû à des critères hormonaux) :

  1. Ceux qui sont persuadés que ça fait (je cite) "trop kiffer" les individus femelles de se faire malaxer la cellulite sans consentement préalable dans les transports en commun.
  2. Ceux qui pensent que les sus-dites femelles vont les croire quand il distribueront leurs cartes de "recruteurs de mannequins" ou de "réalisateurs" à tour de bras, vantant la beauté d'un regard, le leur plongé avec délice dans votre décolleté.
  3. Ceux qui sont sûrs que leurs phrases toutes faites et leurs regards vides de mérous seront séduire quiconque, et qui prennent votre moue excedée pour une avance. Peuvent se révéler plus violents qu'on le croirait de prime abord.

Mais ces cas ne sont pas les plus dérangeants au final. La forme la plus aïgue de la groß-lourdite est aussi de loin sa plus perverse.
Ce sont ceux qui font tout ce qui peut être en leur (peu de) pouvoir pour se différencier de la masse des gros-lourds et préfèrent les plaisirs plus exquis du harcélement moral, ce qui a le mérite de les rendre frustrés en diable qui plus est. Ils confinent souvent à la monomanie, mais ce n'est pas leur faute, ces gros-lourds ne savent pas différencier leurs fantasmes de la réalité, et la psychose les guette souvent, ils ne peuvent  d'ailleurs réprimer leur ridicule exhaltation à cette pensée.

Car le gros-lourd pense que la folie justifierait son incapacité à s'adapter et son besoin pathologique de paraître différent et démiurge. Il se cache donc souvent derrière des façades d'intellect cultureux de bas-étage et dogmatique, de création conceptuelle car vide de sens. Le gros-lourd est révolté, enragé quand il s'agit de montrer sa différence fictive, personne n'en doute, il a aussi réponse à tout. Il parle pour ne rien dire mais veut être écouté désespérément.

Si un spécimen de gros-lourd aigü vient à vous coller au train, l'équipe vous conseille fortement de tout mettre en oeuvre pour le couper de tout ce qui pourra se relier à vous.

Et ce, même si cela implique de retirer le système de commentaire de votre blogue.

1 mai 2008

Blanc.

On ne pense jamais que grandir, cela vient si vite. Ca vous prend par la peau un beau soir, alors vous ravalez vos quatre larmes de crocodiles, et ça ne vous lâche plus, l'âge.
Vous ne vous enflammez plus pour vous seul, votre vie devient relative, le monde parait décentré. Plus proche de vous, mais décentré. Vous n'êtes plus le Soleil, alors vous le cherchez, désormais. Désespéremment. Vous cherchez quatre rayons pour réchauffer ce qui ne bat plus si fort en vous. Cette veine, celle qui vous rendait important, qui faisait de vous l'exception du malheur, qui vous faisait vivre dans l'urgence. Le désesquilibre.
Vous êtes froid, ou plutôt tiède. Vous cherchez vos mots avant de parler, vous comprennez les frayeurs enfantines, vous regardez ce que vous avait été avec une nouvelle tendresse amusée qui remplace le récent dégoût.

Oui, du Soleil. Et du Vide. Vous ôtez de vos murs les derniers vestiges des temps passés. Vous n'avez plus peur d'oublier, puisque cela n'importe pas. Vous savez vos faiblesses sans vraiment les connaître, et cela devrait suffir à vivre à nouveau. Vous ne brûlez plus les idoles anciennes : elles vous amusent, désormais. Mais vous les mettez de côté, elles sont dépassées. Elle ne sont que des idoles, des souvenirs fabriqués.
Voilà que vous le savez : vous n'êtes qu'un enfant, seulement vous avez votre vie entre vos mains de façon moins entière. Vous en serez certainement un jusqu'au jour où vous vous trouverez vieux, et où votre visage dans le miroir semblera celui d'un autre.
Vous êtes quelque part devenu moins entier, amputé de ce qui vous calcinait. Vous ne voyez plus les choses, mais tout ce qui les lie, innestricablement. Ce n'est plus l'araignée; c'est la toile. Ce n'est plus la figure; c'est l'ouvrage. Un pied-à-coulisse vous semble désormais plus remarquable qu'un buvard d'acide.

On ne pense jamais que grandir, cela vient si vite.

Un jour, un vieil artiste de cirque m'a dit que tout funambule va vers une plateforme. C'est peut-être plus vrai qu'il ne le croyait.

25 avril 2008

Périssable

A demis pas, à demis mots
enfile les verbes, pianissimo.
Je leur ferai des béquilles
D'allumettes pour petites filles
Des cataplasmes Ectoplasmiques
Et des dinettes pharaoniques.

Ta mère ou la mienne
Du pareil au même
Nourrir les sons au sein
C'n'est pas la besogne
Des filles de famille
Mais celle des ivrognes
Des saoûlards qui brillent
Lumineuses sales trognes

Les cris, les larmes ont tôt fait
De disparaître dans l'écume
Qui étoffait les jours mauvais
Dans la marée du bitume.

Rien ne va plus, ou de mal en pis
Pire qu'une lame qui vous tue
A tu à toi avec le mépris
Toi qui a tû l'âme, tu dépéris.

Tant de ratures que Don périt
Gnons et bitures comme élégies
A se noircir
Un blues laiteux et vert-de-gris
Un verre de rouge pour l'insomnie
A nourrir.

Plus de regrets que James Barry
On a la poudre et trop d'hivers
Mais pas les fées
Plus d'amertume que Tennessee
On a le dernier tramway
Mais pas l'été.

Qu'on s'en souvienne
Comme on se traîne
Au vin mauvais
Pareils à des cigales mortes
De ci, de là
A exhaler nos calumets
A exalter les cohortes
A allumer
Les étoiles qui vacillent
Dans le trouble
Bleu
De nos pupilles.

On a joué et nous sommes quittes
En doubles cordes sensibles
A la roulette le tzar est tombé
A la tour, au crin du gibet
Il nous a dépérit a nez.

On se bat contre des fantômes
Dans des galeries de glaces brisées
Contre des Yorik atones et sereins
Don qui shoote des ogres faméliques
A coups de seringues hypodermiques.

Plus de questions que Shakespeare
On ne se rue que sur le pire
Plus d'illusions que Cervantès
La rue est notre seule déesse
Mais plus que pour Nietzsche
Nos dieux sont bien morts
Ainsi nous préférons en rire
Peut-être qu'on crèvera dehors
Ca f'ra un roman à écrire.

Tous les mythes qui rongent nos armoires
Sont des mensonges, non pas de histoires.
Qu'on se le dise.
Alors avant d'aller au lit
Dis-toi que Saint Exu-périt
Le petit Prince, ce grand bênet
Mendit des moutons pour l'éternité.

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19 mars 2008

Oui, et Non.

Non, je ne ressemble pas à Marie Trintignant, et non, je n’ai pas la même voix que Jennifer Charles.
D’ailleurs, je m’inspire des lépreux, comme dirait l’autre pauvre type masqué. Ce me fait tenir dans l’océan morne des métropolitains, voyez-vous, dans la turpitude immonde de mon stud., pour citer un autre disciple.

J’ai globalement assez envie de me défiler. Prévoir les choses à l’avance, ça ne m’a jamais menée nulle part, enfin si, ici. Après, on en pense ce que l’on veut.
Et si on se jetait la rancœur à la figure, une bonne fois pour toutes ? On pourrait crier, pleurer, frapper à l’aveuglette entre les larmes. Du drame, du concentré de vie, du romanesque : enfin !

De toutes manières, je cherche l’affrontement, à la Russe, un Platonov querelleur. Tous ces paumés me dégoûtent, il faut bien un exutoire. Alors, un sur cent s’en prend pour toute la bande, c’est ainsi, oui. Oui, c’est injuste, et quand bien même, je m’en contrefiche. Tous ces pervers protégés par la foule et la masse, on leur laisse trop le bénéfice du doute. Tous ces petits cons qui croient trouver des poupées de cire malléables…. Oui, en effet, je leur crache à la gueule. Et en plus, ça me fait tellement plaisir, je me sens presque purifiée.

Ce n’est pas leur faute : l’éducation, le conditionnement, la société de consommation et les derniers effluves des dogmes religieux les ont bien embrigadés. Il y a toujours de bonnes excuses derrière lesquelles ils peuvent se murer d’innocence.

Mais plus le temps passe, plus l’analyse, les doutes nécessaires me rebutent. Plus tout ce vernis collant de culture obligatoire me dégoûte, c’est si terriblement superficiel de se croire profond et intellectuel, mieux vaut ne pas feindre, avec vos jolies références et vos yeux plissés d’auto-contentement, messieurs, vous n’en chiez pas moins, excusez-moi encore du peu. Oui, bientôt vous réussirez à me faire préférer la plus caricaturale des beaufferies.

Au fond, je suis heureuse, j’ai bien su utiliser ma cervelle à la détruire.

Oui, maître.

9 mars 2008

Bus de jour et Bus de nuit.

Heureusement que de ton balcon, ça avait l’air d’être à Gallieni.
Voilà qu’on a achevé le périple ubuesquement bussesque de notre pathétique existence, et tout ça pour quatre pauvres panneaux. Rosny II à la vie à la mort, quoi. On se le fera tatouer, sur les fesses, sûrement.
Mais ça sera ton décor, hein. Promis, il sera royal, ce portrait de la doyenne austère comme une vieille espagnole.

Trois successions chez moi, beaucoup plus de bouteilles vidées. C’est bien, je sais que cette semaine, la totalité de mes déchets sera du verre bon à recycler. Pratique à souhait.
Et puis là, je ne sais plus trop. Encore une histoire de bus, tu sais. Bêtement, tu retenais ton dégout la tête sur mes genoux, et puis moi je pleurais un peu.
J’espère que tu as raison. Que vous avez raison. J’aimerais avoir un jour la foi comme vous, très chères. Que j’arrive à me dire que tout cela n’est pas vain, qu’on n’est pas là pour rien, pour picorer dans l’assiette du voisin seulement ou pour en venir à mépriser.

Merci d’être là, malgré tout. Merci pour la touche de cannelle que tu mets partout, pour tant de bêtises.
Merci de m’écouter sans juger ce qui n’est pas toujours évident à raconter.
Merci de me laisser délirer, partir me tartiner d’alcools forts.

Journée de la femme : on t’emmerde. On a omis la désobéissance civile (ça fait mieux que «  faire mumuse avec une bombe et un pochoir », non ?), mais à charge de revanche.

A peine Barcelone rangé au placard, on dégaine Londres. Et le woofing, yeah. Qu'on aille loin pour tenter d'oublier. 

8 mars 2008

Lady Luck

Strange stream of life flowing all around me.

Look, Lady Luck ! I don't need your fucking wings : I'm arising !
Angel dust at my door, take a place Backseat, Goddamn dope.
With us Bad Seeds. Ain't it Bad Luck ?

You don't seem to see Lust, Lady.
But I don't believe in Fate.
So enjoy your ride. Angels at my door, God into my car.
Take a place Backseat.
Backseat.
I'm the one with the steering-wheel.
I'm arising.

"je vous hais justement parce que je vous ai permis tellement de choses, et je vous hais encore plus parce que vous m'êtes si nécessaire."
Dostoïevski.

New Week's Idol : Caroline Rémy. Try to find about her, fuckin you.

31 janvier 2008

Car quand c'est vivant, ça fait du boucan.

Dans chaque homme un porc latent
Dans chaque port une femme attend
Donc dans chaque homme, il y a une femme...

Comme c'est bizarre...

Today : Karlit et Kabok, Odeurs, Cuisine, Beaubourg, Craquage à Pigalle pour des anches.
O Happy Days, Darling !

   Fini

29 janvier 2008

Gutless

All my friends are embryonic.
Revolution Come and Die.
Sleep with me, Wake up Alive.
Lalala.

tameur

Ouais, je sais. La colonne vertébrale existe.
Ouais, je sais, c'est dégueulasse. Mais j'ai pitié de vous, âmes pures et sensibles, je ne suis pas aller jusqu'au bout de mon idée de base et de ma trashitude facile.

Et au passage : je vous emmerde, demain à 18h, je suis en vacances.
Ahah.

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